On est en train de redécouvrir en France des espaces cultivés où la présence humaine se manifeste gentiment sans perturbations mécaniques ou chimiques ravageuses, sans oublier les connaissances accumulées au cours des ans sur le fonctionnement des interactions permettant la vie fongique, végétale, animale, en les favorisant même.
Résultat, on insiste maintenant sur ce qui se passe au niveau des sols, mieux connus dans le détail depuis un demi siècle et où beaucoup reste encore à respecter et à découvrir pour perturber le moins possible ce qui peut se développer sans l’homme.
Une agriculture biologique en progression
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