Gaz de schiste : L’étude québécoise qui éclate la bulle
Laura Handal, Bertrand Schepper et Patrick Hébert les trois chercheurs auteurs de la note de l’Iris.
©DR
Un impact climatique élevé,
une forte hausse des émissions de GES,
un rendement énergétique très faible,
une quantité démesurée d’eaux usées à épurer,
des risques pour la santé publique,
un impact négatif sur les budgets publics,
trois chercheurs québécois viennent de publier une étude dénonçant l’absence de justification du choix énergétique du gaz de schiste.