C’est court, exprimé avec des mots simples et facile à comprendre.
En gros, c’est le bon sens : des richesses minières se trouvent dans le sous sol, pourquoi se priver de les exploiter ?
D’autant plus que les inconvénients éventuels sont faciles à surmonter : on utilise de l’eau, on la salit ; la belle affaire….il suffit de la dépolluer comme on sait le faire actuellement …. on abîme la végétation et le paysage avec les installations et les camions….. oh …si peu…un puits c’est à peu près la surface d’un terrain de football. On l’exploite, comme on fait avec une carrière actuellement …
C’est à croire que des spécialistes reconnus dans leur domaine et dont l’avis peut orienter des décisions à risques sont aveugles sur les problémes de leur temps et ont loupé l’année 2010 où l’on a rabaché le fait reconnu que la biodiversité se détruit petit à petit.
A rappeler par exemple un probléme qui a été évoqué dans les journaux l’année dernière : la pollution par la rupture d’un pipe line des écosystémes steppiques remarquables de la Crau et les problémes de leur restauration après les fuites de pétrole.
Le professeur Thierry Dutoit de l’Université d’Avignon est chargé de suivre le probléme ; il s’exprime :
Un colloque sur la restauration des ecosystémes prairiaux s’est tenu par la suite à Avignon.
La conclusion :